Hijab et ses conséquences sur la santé: Difference between revisions

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De faibles niveaux de vitamine D ont également été associés à toute une série de troubles dévastateurs, notamment les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 1, la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde. Il existe également une forte association entre une carence en vitamine D et un risque accru de développer plusieurs cancers mortels, y compris le cancer du sein.<ref>Holick, M.F., [https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15585788/ Sunlight and vitamin D for bone health and prevention of autoimmune diseases, cancers, and cardiovascular disease]. The American journal of clinical nutrition, 2004. 80(6 Suppl).</ref>
De faibles niveaux de vitamine D ont également été associés à toute une série de troubles dévastateurs, notamment les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 1, la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde. Il existe également une forte association entre une carence en vitamine D et un risque accru de développer plusieurs cancers mortels, y compris le cancer du sein.<ref>Holick, M.F., [https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15585788/ Sunlight and vitamin D for bone health and prevention of autoimmune diseases, cancers, and cardiovascular disease]. The American journal of clinical nutrition, 2004. 80(6 Suppl).</ref>


La préoccupation n’est pas seulement envers les femmes qui choisissent d’observer les formes de tenues islamiques les plus couvrantes, mais aussi envers les enfants que ces femmes pourraient potentiellement porter. Les nourrissons nés de mères déficientes en vitamine D souffrent d’une prévalence accrue de convulsions.<ref>Bandgar, T.R., [https://www.japi.org/s2e474b4/vitamin-d-and-hip-fractures-indian-scenario Vitamin d and hip fractures: Indian scenario]. The Journal of the Association of Physicians of India, 2010. 58(9): p. 535-537.</ref> Si ces enfants observent le hijab intégral durant leur enfance, ils courent le risque de ne pas atteindre la taille qu’ils auraient dû atteinte s’ils n’étaient pas déficients en vitamine D.<ref>Holick, M.F., [https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15585788/ Sunlight and vitamin D for bone health and prevention of autoimmune diseases, cancers, and cardiovascular disease]. The American journal of clinical nutrition, 2004. 80(6 Suppl).</ref>
La préoccupation n’est pas seulement envers les femmes qui choisissent d’observer les formes de tenues islamiques les plus couvrantes, mais aussi envers les enfants que ces femmes pourraient potentiellement porter. Les nourrissons nés de mères déficientes en vitamine D souffrent d’une prévalence accrue de convulsions.<ref>Bandgar, T.R., [https://www.japi.org/s2e474b4/vitamin-d-and-hip-fractures-indian-scenario Vitamin d and hip fractures: Indian scenario]. The Journal of the Association of Physicians of India, 2010. 58(9): p. 535-537.</ref> Si ces enfants observent le hijab intégral durant leur enfance, ils courent le risque de ne pas atteindre la taille qu’ils auraient dû atteintre s’ils n’étaient pas déficients en vitamine D.<ref>Holick, M.F., [https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15585788/ Sunlight and vitamin D for bone health and prevention of autoimmune diseases, cancers, and cardiovascular disease]. The American journal of clinical nutrition, 2004. 80(6 Suppl).</ref>


=== Tenue islamique et santé ===
=== Tenue islamique et santé ===

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La burqa, un exemple de "hijab intégral", qui peut contribuer de manière significative à certains problèmes de santé (plus d'images).

Cet article traite du hijab et des effets potentiels et observés sur la santé des femmes qui choisissent, subissent des pressions ou sont forcées de le porter.

Le hijab

La majorité des femmes musulmanes dans le monde respectent l’exigence islamique d’observer le hijab (une forme de tenue islamique). Cela va du simple port d’un couvre-chef à la burqa (une forme de "hijab intégral") qui couvre presque toute la peau exposée.

Le hijab intégral peut être constitué des éléments suivants :

  • Le jilbab ; il s’agit de tout manteau ou vêtement long et ample porté par les femmes.
  • Le khimar ; un foulard ou une écharpe, appelé souvent et simplement "hijab", utilisé pour couvrir la tête et le cou.
  • Le niqab ; un morceau de tissu qui voile le visage.

Certains juristes musulmans considèrent le port du niqab comme wajib (obligatoire), tandis que d’autres pensent qu’il est mustahab (favorisé par Allah).[1]

Les effets sur la santé

La communauté médicale est préoccupée par certains des effets sur la santé qui découlent des modèles extrêmes de tenues vestimentaires islamiques, avec principalement des problèmes de carence en vitamine D suite au manque de peau exposée aux rayons UV. Il a été établi par des preuves scientifiques crédibles que presque toutes les femmes qui observent le hijab intégral sont chroniquement déficientes en vitamine D.[2] La vitamine D est un nutriment vital et une carence de ce genre peut entraîner diverses maladies.

Carence en vitamine D

La vitamine D est une vitamine liposoluble qui est un nutriment essentiel pour la santé humaine.[3][4] La vitamine D est synthétisée lorsque les rayons ultraviolets du soleil frappent la peau humaine, déclenchant ainsi une série de réactions, et c’est par cette méthode que la grande majorité de l’apport quotidien en vitamine D d’une personne est produite. Elle est naturellement absente dans presque tous les aliments couramment consommés, très peu d’aliments de choix contiennent des quantités appréciables et très peu de produits de consommation en sont enrichis.[5]

Le rôle principal de la vitamine D dans le corps est de réguler les bonnes quantités de calcium présentes dans le sang. Cette vitamine aide à l’absorption du calcium pour créer des os sains et solides. Des quantités insuffisantes de vitamine D peuvent entraîner une faiblesse, une fragilité et une difformité des os ; une maladie est d’ailleurs connue sous le nom d’ostéomalacie chez les adultes et de rachitisme chez les enfants. Des quantités suffisantes de vitamine D sont également cruciales dans la prévention des fractures et de l’ostéoporose chez les personnes âgées.[6]

De faibles niveaux de vitamine D ont également été associés à toute une série de troubles dévastateurs, notamment les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 1, la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde. Il existe également une forte association entre une carence en vitamine D et un risque accru de développer plusieurs cancers mortels, y compris le cancer du sein.[7]

La préoccupation n’est pas seulement envers les femmes qui choisissent d’observer les formes de tenues islamiques les plus couvrantes, mais aussi envers les enfants que ces femmes pourraient potentiellement porter. Les nourrissons nés de mères déficientes en vitamine D souffrent d’une prévalence accrue de convulsions.[8] Si ces enfants observent le hijab intégral durant leur enfance, ils courent le risque de ne pas atteindre la taille qu’ils auraient dû atteintre s’ils n’étaient pas déficients en vitamine D.[9]

Tenue islamique et santé

Étant donné que la quasi-totalité de l’apport quotidien en vitamine D provient de la lumière du soleil, l’exposition est très préoccupante pour les femmes qui portent la burqa ou le "hijab intégral". Ce style vestimentaire, qui ne laisse exposer qu’une très petite partie de la peau autour des yeux, réduit considérablement la surface du corps à laquelle la lumière du soleil est exposée et réduit donc la quantité de vitamine D synthétisée. Ces faibles taux de production de vitamine D épuiseront rapidement les réserves excédentaires de vitamine D contenues dans la graisse et les personnes seront probablement dans un état de carence.

Pour cette raison, de graves carences en vitamine D sont largement répandues dans de nombreux pays à majorité musulmane. Une étude réalisée par des médecins du King Fahd University Hospital en Arabie saoudite a montré que sur les 52 femmes testées, toutes présentaient une grave carence en vitamine D et risquaient de graves problèmes de santé, même si elles vivaient dans l’un des endroits les plus ensoleillés de la planète.[10] En outre, dans une étude entreprise en Jordanie, 83,3% des femmes portant le style le plus couvrant de robes islamiques se sont avérées déficientes en été. C’est assez frappant par rapport au fait que seulement 18,2% des hommes jordaniens étudiés étaient déficients.[11] La Jordanie, comme l’Arabie Saoudite, a la particularité d’être l’un des endroits les plus ensoleillés de la planète, ainsi, l’effet du port de la burqa sur les niveaux de vitamine D et la santé est profond.

Effet de l’ethnicité et de la migration

Il y a également des inquiétudes pour la santé des migrants provenant de pays à majorité islamique, dont la plupart sont autour de l’équateur et reçoivent la plus grande quantité de lumière du soleil de n’importe quel autre endroit sur Terre. Il est préoccupant de constater que ces femmes migrent vers des pays où l'ensoleillement est plus faible tout au long de l'année par rapport à leur pays d'origine. Le teint de la peau est plus foncé à l’équateur en réponse à la lumière du soleil.[12][13] Une peau plus foncée bloque considérablement plus de rayons UV et diminue énormément la production de vitamine D (les personnes ayant une pigmentation foncée de la peau peuvent avoir besoin de 20 à 30 fois plus d’exposition au soleil).[14] Tous ces facteurs combinés à une tenue islamique très couvrante créent de sérieux problèmes de santé potentiels pour les migrants islamiques dans des pays éloignés de l’équateur comme le Canada, les États-Unis, l’Europe et l’Australie.[15][16]

De nombreuses études scientifiques ont pu le démontrer. Une étude a été entreprise à Dearborn, dans le Michigan, la colonie arabo-américaine la plus concentrée aux États-Unis, pour évaluer la relation entre les niveaux de vitamine D et le choix vestimentaire islamique chez les femmes musulmanes arabo-américaines migrantes. Le niveau moyen de vitamine D s’est avéré être de 4 ng/ml chez les femmes voilées qui n’ont pris aucun complément en vitamine D et de 7 ng/ml chez les femmes qui portaient le même style de voile mais ont choisi de prendre des compléments.[17] Le seuil pour le risque de rachitisme et d’ostéomalacie est de 8 ng/ml et moins ; la carence clinique est considérée comme inférieure à 16 ng/ml.[18] Cela illustre un risque sanitaire très grave pour les femmes musulmanes migrantes qui immigrent dans ces pays et portent la burqa.

Au Royaume-Uni, les cas de rachitisme étaient rares jusqu’à récemment. Les cas de cette maladie ont considérablement augmenté en raison de la population musulmane croissante.[19][20][21]

Obésité

It has been noted that the observance of hijab, the garments and the traditions surrounding them, can discourage exercise both psychologically and practically.[22][23] The style of dress can make it easy to hide the bloat of a large meal, and it can be physically restrictive for those who wish to exercise, especially outdoors where one has to be aware of the weather (if it is too hot or humid). In the West, where most indoor gyms are mixed-sex, exercise without Islamic dress can be very difficult for observant Muslim women, and some forms of Islamic dress can make playing almost any sport nearly impossible.[22][23]

According to The Economist magazine’s world rankings, the countries with the highest obesity rates among women are Muslim countries[22] (data from 1999-2003 show 8 of the top 10 to be Muslim majorities; Qatar, Saudi Arabia, Palestinian territories, Lebanon, Albania, Bahrain, Egypt, and the United Arab Emirates),[24] and a 2006 study presented by Qatari expert Issam Abd Rabbu at the "Facts About Obesity" seminar, found that up to 70 percent of women living in the Gulf Arab states (Bahrain, Kuwait, Oman, Qatar, Saudi Arabia and the United Arab Emirates) were overweight or obese.[25] Dr. Abdul Rahman Musaiqir, head of the Arab Center for Nutrition at Bahrain University, has said the problem of obesity among women in the Gulf states is being disguised by their Islamic dress, and that obesity rates are much higher than in developed countries.[26]

A 2011 study issued by the National Commercial Bank (NCB), Saudi Arabia’s largest bank, found that the number of Saudis suffering from high blood pressure, diabetes and obesity is increasing at an alarming rate, and a survey released by the Saudi Diabetes and Endocrine Association (SDEA) in 2010 showed that over 70 percent of the Saudi population are "alarmingly obese".[27] Figures released by the Qatar Diabetes Association (QDA) state that 20% of the population has been diagnosed as diabetic in Qatar, and the disorder is affecting more and more children.[23] Some of the health problems associated with obesity include; heart disease, high blood pressure, type 2 diabetes, painful wear and inflammation on weight-bearing joints, breathing problems and sleep apnea.[28]

Implications for the Islamic Faith

The observance of hijab prevents women from getting enough vitamin D. This can lead to a whole host of disorders. For Islam as a religion, this appears to have troublesome implications.

Islam is considered by its adherents to be the perfect way of life for mankind - this appears to be a difficult position to maintain when one considers that the teachings of Islam's omniscient, omnibenevolent deity would pose a major health risk to his female followers.

It could be argued that today this can be combated with vitamin D supplementation combined with daily exposure to the sun in the privacy of ones backyard or some other location safe from the eyes of non-mahram men. However, this does not appear to be a satisfactory solution.

Many are not fortunate enough to have their own private gardens where they can sit, and sitting in front of a window inside their homes will not help because window glass only lets through UV-A rays, not UV-B and UV-C. UV-B rays are needed for the production of vitamin D.[29]

Furthermore, it was only in 1923 that it was established when 7-dehydrocholesterol is irradiated with light, a form of a fat-soluble vitamin is produced,[30] and until the mid-1930s, when the first commercial yeast-extract and semi-synthetic vitamin C supplement tablets were sold, vitamins were obtained solely through food intake and (in the case of vitamin D) through exposure to the sun.[31]

So what of the Muslim women prior to the 1930s and their vitamin intake? Furthermore, the Qur'an and hadith literature, make no mention at all of the matter.

It is sometimes suggested, in response, that long-term excessive exposure to UV radiation from sunlight can cause skin cancer and other ailments. However, according to epidemiologist Robyn Lucas at Australian National University,[32] analysis of lifespan versus disease shows that far more lives are lost to diseases caused by lack of sunlight than by those caused by too much,[33] and of course, a women is always capable of avoiding what she feels to be too much or too little sunlight, but the restrictive Islamic dress laws require, in effect, that this ability is taken away from her.

Voir également

Translations

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Liens externes

Références

  1. Hijab In The Al-Quran And Sunnah - Khalifah Institute, consulté le 3 juillet 2011
  2. Mishal, A.A., Effects of Different Dress Styles on Vitamin D Levels in Healthy Young Jordanian Women. Osteoporosis International, 2001. 12(11): p. 931-935.
  3. Moan, J. et A. Juzeniene, Solar radiation and human health. Journal of Photochemistry and Photobiology B: Biology, 2010: p. 109-110.
  4. Bandgar, T.R., Vitamin d and hip fractures: Indian scenario. The Journal of the Association of Physicians of India, 2010. 58(9): p. 535-537.
  5. Office of Dietary Supplements - National Institutes of Health. Dietary Supplement Fact Sheet: Vitamin D. 2011. Consulté le 2 juillet 2011.
  6. Vitamin D - Mayo Clinic. 2011. Consulté le 2 juillet 2011
  7. Holick, M.F., Sunlight and vitamin D for bone health and prevention of autoimmune diseases, cancers, and cardiovascular disease. The American journal of clinical nutrition, 2004. 80(6 Suppl).
  8. Bandgar, T.R., Vitamin d and hip fractures: Indian scenario. The Journal of the Association of Physicians of India, 2010. 58(9): p. 535-537.
  9. Holick, M.F., Sunlight and vitamin D for bone health and prevention of autoimmune diseases, cancers, and cardiovascular disease. The American journal of clinical nutrition, 2004. 80(6 Suppl).
  10. Elsammak, M.Y., et al., Vitamin D deficiency in Saudi Arabs. Hormone and Metabolic Research, 2010. 42(5): p. 364-368.
  11. Mishal, A.A., Effects of Different Dress Styles on Vitamin D Levels in Healthy Young Jordanian Women. Osteoporosis International, 2001. 12(11): p. 931-935.
  12. Barsh, G.S., What Controls Variation in Human Skin Color? PLoS Biol, 2003. 1(1): p. e27.
  13. Relethford, J.H., Hemispheric difference in human skin color. American journal of physical anthropology, 1997. 104(4): p. 449-457.
  14. Mike Adams - Vitamin D myths, facts and statistics - NaturalNews, 1 Janvier 2005
  15. Hagenau, T., et al., Global vitamin D levels in relation to age, gender, skin pigmentation and latitude: an ecologic meta-regression analysis. Osteoporosis International, 2009. 20(1): p. 133-140.
  16. Hanley, D.A. and K.S. Davison, Vitamin D Insufficiency in North America. The Journal of Nutrition, 2005. 135(2): p. 332-337
  17. Hobbs, R., et al., Severe Vitamin D Deficiency in Arab-American Women Living in Dearborn, Michigan. Endocrine Practice, 2009. 15(1): p. 35-40.
  18. Heaney, PR. Functional indices of vitamin D status and ramifications of vitamin D deficiency. American Journal of Clinical Nutrition 2004; 80 : S1706 – S1709
  19. Jeremy Laurance, "Rise in rickets linked to ethnic groups that shun the sun", The Independent, 25 Juillet 2011 (archived), http://www.independent.co.uk/life-style/health-and-families/health-news/rise-in-rickets-linked-to-ethnic-groups-that-shun-the-sun-2319920.html. 
  20. Katerina Nikolas, "Rickets on the increase amongst British children", DigitalJournal, 16 Décembre 2011 (archived), http://digitaljournal.com/article/316191. 
  21. "Rickets upsurge among UK Asians", BBC News, 5 Février 2001 (archived), http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/1154211.stm. 
  22. 22.0 22.1 22.2 Caroline May - The burka may be making Muslim women fatter by discouraging exercise - The Daily Caller, July 1, 2010
  23. 23.0 23.1 23.2 Qatar: surge in diabetes/obesity, unhealthy Arab habits - ANSAmed, March 13, 2012
  24. Economist.com rankings for obesity among women
  25. Up to 70% of Gulf women are obese - Middle East Online, September 29, 2005
  26. Gulf women hide weight under gowns - Emirates 24/7, January 12, 2011
  27. Nadim Kawach - Blood pressure and obesity epidemic in Saudi - Emirates 24/7, May 2, 2011
  28. Health Problems Associated with Obesity - The Nation's Health, March 2011
  29. Shereen Jegtvig - How Much Sun Exposure Do I Need for Vitamin D? - About.com, October 06, 2011
  30. Unraveling The Enigma Of Vitamin D - United States National Academy of Sciences, accessed August 6, 2011
  31. Vitamin - Wikipedia, accessed August 6, 2011
  32. National Centre for Epidemiology and Population Health - Australian National University, October 17, 2008
  33. Deborah Kotz - Time in the Sun: How Much Is Needed for Vitamin D? - U.S.News, June 23, 2008