'Abd al-Rahman ibn Sakhr ad-Dawsi (Arabic : عبدالرحمن بن صخر الدوسي), or Abu Hurayra, born between 601 and 604 and died between 676 and 679, is a celebrated sahabi, or companion of the prophet Mohammed. It is estimated that he transmited 5,374 hadiths, smore or less the equivalent of an entire Qu'ran by itself. He is cited in more more than half of the classic isnâds (chains of transmission) of the hadiths, making him the greatest know traditionalist (muhaddith). He is therefore responsible for transmitting more hadiths than any other companion of the prophet according to the tradition, even though according to this same tradition he spent less time around Muhammad and was less intimitely familiar with him than the other companions. In affect, according the majority of authors, he only knew Muhammad during the latter part of his life: at most he knew the prophet for 4 years before the latter's death.
He was very poor during the life of the prophet, but he became the governor of Bahrain during the reign of ‘Umar Ibn al-Khattâb, he subsequently abandonded the post then became emir of Medina under the caliphate of Mu’âwiya.
Place of Abu Hurayrah amongst the Companions of the Prophet During his Lifetime
Bukhari 5432 (et 3708) :
« Narrated Abu Huraira:
I used to accompany Allah's Messenger (ﷺ) to fill my stomach; and that was when I did not eat baked bread, nor wear silk. Neither a male nor a female slave used to serve me, and I used to bind stones over my belly and ask somebody to recite a Qur'anic Verse for me though I knew it, so that he might take me to his house and feed me. Ja`far bin Abi Talib was very kind to the poor, and he used to take us and feed us with what ever was available in his house, (and if nothing was available), he used to give us the empty (honey or butter) skin which we would tear and lick whatever was in it.
»
Thirmidhi 3764 :
Abu Hurairah a déclaré: "Aucun a mis des sandales, ni monté une
monture, ni un Kür, après le Messager d' Allah mieux que Ja'far [bin Abi Talib]. "
Bukhari 5375 :
Rapporté Abu Huraira: “
Comme j’étais en proie à une longue et dure faim, je rencontrai ‘Omar Ibn al-Khattâb. Je Je lui demandai alors de me citer un verset du Livre de Dieu (qui puisse soulager mes souffrances), et il entra dans sa maison d’où il m’en récita un. Je marchais ensuite, mais ne fus pas long à m’effondrer, tellement j’étais affaibli. C’est alors que je vis le Prophète se pencher sur moi et me prendre la main pour me faire relever. Il m’appela : “Ô Aboû Hourayra !” Je répondis : “Oui, ô Envoyé de Dieu. Me voici répondant à ton appel.” Comprenant ce que j’avais, il m’entraîna jusque chez lui et me fit donner un grand bol de lait. Je bus et il me dit : “Prends-en encore.” Je repris le bol et je bus à répétition.
Quand je repartis, je retouvai ‘Omar à qui je rapportai ce qui m’était arrivé, concluant : “Mon affaire a été résolue par celui qui était plus habilité que toi à le faire, ô ‘Omar !” Par Dieu je le jure, je savais réciter bien mieux que toi le verset que je t’ai demandé de me réciter !” ‘Omar me répondit : “Et par Dieu je le jure, j’aurais mieux fait de t’inviter à entrer que de posséder des chameaux roux (considérés comme les meilleurs chameaux).”
Bukhari 6452 :
Rapporté Abu Huraira: «
J’ai atteint un tel degré de famine, que j’avais coutume de demander à l’un des compagnons du Prophète un verset du Coran que je connaissais déjà, dans le seul espoir qu’il me prenne avec lui vers sa maison et me nourrisse… Un jour, ma faim fut si violente, que j’ai attaché une pierre sur mon ventre, et je me suis installé sur la route qu’empruntent généralement les compagnons du Prophète (Pbsl)… Au passage d’Abou Bakr, je lui ai demandé un verset du Livre Sacré. Je n’avais posé la question que pour qu’il m’invite chez lui… Il ne m’invita pas. Puis, au passage d’Omar, je posai encore une fois ma question… il ne m’invita pas… Au passage de l’Envoyé (Pbsl), il comprit la raison de ma souffrance. Il me dit : - Abou Houraïra ! Je lui répondis : Oui, ô Envoyé d’Allah et je l’ai suivi dans sa maison. Quand nous entrâmes dans sa maison, il trouva un bol contenant du lait. Il demanda à sa famille : - Qui vous a apporté ceci ? - Untel… te l’a envoyé, répondirent-ils. Il me dit : - Abou Houraïra,
va voir les gens de la Souffa (les nécessiteux musulmans qui n’ont ni parents, ni bien et qui s’asseyaient à côté de la mosquée de l’Envoyé (Pbsl)) et invite les à venir. Je fus intérieurement mécontent qu’il m’envoie appeler les gens de la Souffa, me disant intérieurement : "Qu’est-ce que ce peu de lait peut bien faire pour les gens de la Souffa ?!" J’espérais avoir un peu de lait pour me redonner un peu de mes forces perdues par la faim. Je suis allé chez les gens de la Souffa et je leur ai transmis l’invitation de l’Envoyé d’Allah (Pbsl). Tous me suivirent et s’installèrent dans la maison de l’Envoyé (Pbsl). Le Prophète, me tendant le bol, me dit : "Prends le ô Abou Houraïra, et nourris-les". A chaque fois je donnais le bol à l’un d’eux et il buvait à sa faim et à sa soif, jusqu’à se rassasier complètement. Puis, je passais au suivant… Quand j’eus donné le bol à tous, et que tous eurent pleinement satisfait leur faim et leur soif, je tendis le bol au Prophète (Pbsl) qui me dit souriant : - Il ne reste plus que nous deux : toi et moi… - c’est vrai, ô Envoyé d’Allah, répondis-je. - Bois… m’ordonna t-il. - Je bus… Puis, il (Pbsl) me dit - Bois… - Je bus. Il continua ainsi à m’ordonner de boire, et moi j’exécutai son ordre, jusqu’à ce que j’aie dit : "Par le Nom de Celui qui t’a Envoyé avec la vérité, je n’ai plus de place pour le mettre…" Alors, il prit le bol de mes mains et bu à son tour des restes…»
Ahl as-Suffah (أهل الصفة) : litteraly, the people of the banquet. They soujerned permantently about the prophets mosque and sheltered under a canopy.
Verse 273 of surah number two al-Baqarah makes an allusion to them:
Aux nécessiteux qui se sont confinés dans le sentier de Dieu, ne pouvant parcourir le monde, et que l'ignorant croit riches parce qu'ils ont honte de mendier - tu les reconnaîtras à leur aspects - Ils n'importunent personne en mendiant. Et tout ce que vous dépensez de vos biens, Dieu le sait parfaitement.
Bukhari 7324 :
Rapporté Muhammad: « Nous étions avec Abu Hurayra alors qu'il portait deux vêtements en lin teints à l'argile rouge. Il s'est nettoyé le nez avec son vêtement en disant: Bravo! Bravo! Abu Hurayra nettoie son nez avec du linge!
Je me revois encore le jour où je suis tombé entre la chaire de l'apôtre d'Allah et la demeure d'Aisha. Certains passants me marchaient sur la nuque, en me prenant pour un fou, alors que ce n'était que de faim que je tombais. »
During the course of the last four years of the life of the prophet when according to the tradition he had total, uncontested power in Medinah, it is difficult to imagine someone daring to step upon the neck of a true companion of the prophet in broad daylight...it seems possible that Abu Hourayra didn't habitually accompany the prophet but ratherbut rather stay in or around the mosque of Madinah in the day, and homeless under the stars at night, amongst the "Suffah." In such a position he might well have seen the power that religion has in those times in that place. The opportunities afforded by religion would have been apparent.
Judged as too Gossipy during the Lifetime of the Prophet, but explained thanks to a magic coat.
If one takes into account that he supposedly transmitted more than 5000 hadiths in the space of four years, that works our to collectively about 4 hadith per day, a startling piece of statistical evidence. Even more confusing : according to numerous sources, during these 4 years, in total he could only have known the prophet for a year and nine months since the prophet sent him under the command of ibn Al Hadhrami to Bahrain. The messenger of Allah died while Abu Hurayrah was still there in Bahrain (Abou Houreyra : Mahmoud Abou Ar Riya Al Misri, Commentaires des Hadiths, de Ibn Koteyba, page 39 et 41). But also because the prophet has spent a great amounts of his time in military expiditions during the last 4 years of his life it is unlikely that Abu Hurayrah spent even 1 year and 9 months around him. Numerous contemporaries of Abu Hurayrah expressed their astonishment if not their doubts concerning this profusion of hadith traditions which seemed to pour out of Abu Hurayrah like bullets from a machine gun .
Muslim 6399 (2493) :
A'isha a rapporté: «
Abû Hurayra ne t’étonne-t-il pas? Il est venu s’asseoir à côté de mon appartement pour transmettre les hadiths du Messager d’Allah, d’une voix qui m’était audible. J’effectuais une prière surérogatoire. Mais il se leva avant que je termine.
Si je l'avais rattrapé, je lui aurais dit: “Le Messager d’Allah ne débitait pas les hadiths comme vous le faites” ».
(See also Muslim 7509 (2493) et 7510 (3004) and Bukhari 3568)
Ahmad dans al-Mousnad (16/563) :
- « Tu racontes trop d'histoires! »
- « Si je vous racontais tout ce que j'ai entendu du Prophète (Bénédiction et salut soient
sur lui), vous me qualifieriez de "ramasseur de n'importe quoi" et ne discuteriez plus avec
moi. »
Muslim 6397 (2492)
Al-A'raj a rapporté qu'il avait entendu Abu Huraira dire:
Vous prétendez qu'Abu Huraira rapporte trop de hadiths du Messager d'Allah (que la paix soit sur lui), mais c’est auprès d'Allah qu’est notre rendez-vous ! J'étais un homme indigent et je servait le Messager d'Allah en me contentant de ce qui comblait ma faim. Les Émigrés s’occupaient des transactions au marché tandis que les Ansâr s'affairaient à entretenir leurs biens.
Le Messager d'Allah a dit: “Celui qui étend son vêtement n'oubliera jamais rien de ce qu'il entendra de moi”. J’étendis donc mon vêtement jusqu'à ce qu'il termine son discours, puis le ramenai vers moi. Depuis, je n’ai rien oublié de ce que j'ai entendu de lui.
(see also Bukhari 118,119, 3648, 7354, 2047 and 2350)
Suspicion that he Invented Hadiths
Bukhari 5355 :
rapporté par Abu Hourayra : «Le Prophète a dit: 'La meilleure aumône est celle qui est donnée quand on est riche, et donner la main vaut mieux que prendre, et vous devriez commencer d'abord à subvenir aux besoins de vos personnes à charge. Une femme dit: «Tu devrais soit me fournir de la nourriture, soit me divorcer. Un esclave dit: «Donnez-moi de la nourriture et appréciez mon service». Un fils dit: "Donnez-moi à manger; à qui me laissez-vous?"
Les gens ont dit: "O Abu Huraira! Avez-vous entendu cela du Messager d'Allah ?" Il a dit: "Non, cela vient de moi-même." (de mon petit sac)
Muslim 2589 (1109)
Abu Bakr (il est Abu Bakr b. Abd al-Rahman b. Harith) a rapporté: J'ai entendu Abu Huraira (qu'Allah soit satisfait de lui) raconter que celui qui est rattrapé par l'aube dans un état de janâba ne devrait pas observer le jeûne. J'en ai fait mention à 'Abd al-Rahman b. Harith (c'est-à-dire à son père) mais il l'a nié. 'Abd al-Rahman est allé et je suis aussi allé avec lui jusqu'à ce que nous arrivions à'A'isha et Umm Salama (qu'Allah soit satisfait d'elles) et Abd al-Rahman leur a posé des questions à ce sujet. Toutes deux ont dit: (Parfois, il arrivait ainsi) que le Messager d'Allah se réveillait le matin dans un état de janâba sans que ce soit dû à un rêve. Ensuite il jeûnait. Nous avons ensuite continué jusqu'à ce que nous soyons allés à Marwan et Abd al-Rahman lui en a fait mention. Sur ce, Marwan a dit: Je vous souligne (avec serment) que vous feriez mieux d'aller à Abu Huraira et de lui rapporter ce qui est dit à ce sujet. Nous sommes donc venus à Abu Huraira, Abu Bakr était avec nous tout au long et 'Abd al-Rahman lui en a fait mention, sur quoi Abu Huraira a dit: Est-ce qu'elles (les deux épouses du Saint Prophète) vous ont dit cela? Il a répondu: Oui. Sur ceci (Abu Huraira) a dit: Elles ont une meilleure connaissance.
Abu Huraira a ensuite attribué ce qui en avait été dit à Fadl b. 'Abbas et dit: Je l'ai entendu de Fadl et non du Messager d'Allah. Abu Huraira s'est alors rétracté de ce qu'il avait l'habitude de dire à ce sujet. Ibn Juraij (l'un des narrateurs) a rapporté: J'ai demandé à 'Abd al-Malik, si elles (les deux épouses) ont dit (ont fait la déclaration) concernant le Ramadan, sur quoi il a dit: Il en était ainsi.
His Use and Occasional Inconvienence to the Caliphates
While he was impoverished during the life of the prophet, Abu Hurayrah managed to considerably enriched himself during the reigns of the first caliphs. More than one time, he was designated the emir of Madinah. He continued to narrate hadiths throughout his life, but not everyone seemed pleased by his narrations: 'Umar threatened him to shut him up while Mu’âwiya found it easier to purchase his silence.
Tarik Madinat Dimachk d’Ibn Assadir Vol 67 p 343
D’après al Saib bin Yazid qui a dit : J’ai entendu Omar ibn al-Khattab dire à Abu Hourayra : « Sois tu arrêtes le hadith sur le messager d’Allah soit je t’envoie à la terre de Daws »
Ibn Asâkir (Ta’rikh Dimashq), Ibn Kathir (Al-Bidaya wa l-Nihâya), Al Dhahabî (Siyar A’lâmi al Nubalâ)
d’après Cheikh Ahmad : « Abû Hurayra se taisait quand Mu’âwiya le payait, et lorsqu’il ne le payait pas, il parlait. »
Bukhari 120 + Ibn Hajar al-’Asqalanî (Fath al-Bari)
« J’ai appris du messager de Dieu deux jarres [de sciences]. J’ai transmis l’une de ces deux jarres. Quant à l’autre, si je l’avais transmise, cette nuque [la sienne] aurait été tranchée. »
Ibn Hajar al-‘Asqalanî (Fath al-Bari) explains the previous hadith in these terms : « The scholars have deduced that the jar that he did not divulge contains some hadiths with the names of the governors of the Mal, ltheir state and their time period. Abû Hurayra made the same indirect reference to certain ones amongst them, because because he was afraid for himself. »
Ibn Sa’d al-Baghdadi Kitab al-Tabaqât al Kabîr :
« J’étais un serviteur chez Ibn ‘Affan et Bint Ghazwane pour servir aux besoins de mon ventre. Je les conduisais lorsqu’ils étaient sur des montures et les servaient lorsqu’ils descendaient de celles-ci. Elle [Bousra Bint Ghazwane] me dit un jour : « tu ne monteras des montures que lorsqu’elles sont debout [il est très difficile de monter un dromadaire debout] et tu n’en descendras que pieds nus. » Puis Dieu m’a permis de l’épouser [lorsqu’il est promu émir sous Mu’âwiya] et je lui dis : « Tu n’en descendras que pieds nus et tu ne le monteras que debout. »
Abu Hurayrah finished his life immensly wealthy, the governor of Medinah living in a palace. In the service of the first caliphs and in particular the Umayyads, he very effecitvely collaboreted and ingratiated himself with the founders of today's current Sunni islam, a venture which served to make him immensly rich and powerful.
Examples of Hadiths in the Pure Style of Abu Hurayrah
Some Hadiths Which Were Favored by the Caliphate:
Bukhari 6924 :
(...) "Abu Bakr a dit:" Par Allah! Je combattrai quiconque fait la différence entre les prières et la Zakat car la Zakat a le droit d'être enlevé de la propriété (…)
Bukhari 1442 :
Le Prophète a dit: «Chaque jour, deux anges descendent du Ciel et l’un d’eux dit:
« O Allah! Compensez chaque personne qui dépense dans Votre Cause », et l’autre (ange) dit:« O Allah! Détruisez tous les avares. »
Bukhari 2548 et 2549 :
Le Messager d'Allah a dit: "Un esclave pieux reçoit une double récompense." Abu Huraira a ajouté: Par Celui entre les mains de qui mon âme n'est que pour le Jihad (c'est-à-dire les batailles saintes), le Hajj et mon devoir de servir ma mère, j'aurais aimé mourir en tant qu'esclave. Le Prophète a dit:
"La bonté et le réconfort sont pour celui qui adore son Seigneur d'une manière parfaite et sert son maître sincèrement."
Abu Dawud 2175 :
Le Prophète a dit: « Quiconque incite une femme contre son mari ou un esclave contre son maître n'est pas l'un de nous. »
Others concerning good morals:
Bukhari 5185 :
« Celui qui croit en Allah et au jour dernier qu’il ne cause pas de gêne à son voisin et soyez bon avec les femmes. En effet elles ont certes été crée d’une côte et ce qui est le plus tordu de la côte est sa partie supérieure. Si on veut la redresser on la casse et si on la laisse elle reste tordue. Soyez bon avec les femmes ».
Bukhari 5136 et Muslim 1419 :
Le Prophète a dit: "Une matrone ne doit être donnée en mariage qu'après l'avoir consultée; et une vierge ne doit pas être donnée en mariage sauf après sa permission." Les gens ont demandé, "O Messager d'Allah! Comment pouvons-nous connaître sa permission?" Il a dit: «Son silence (indique sa permission).
Bukhari 1088 et muslim 1339 :
Le Prophète a dit: "Il n'est pas permis à une femme qui croit en Allah et au Dernier Jour de voyager un jour et une nuit sauf avec un Mahram."
Bukhari 5194 :
D’après Abou Hourayra, que le Prophète a dit : « Lorsqu’une femme passe la nuit désertant le lit de son époux, les anges restent à la maudire jusqu’à ce qu’elle revienne [sur sa décision]. »
(see also Muslim 1436)
Tirmidhi 1159 :
Abu Hurairah a raconté que le Prophète a dit: «Si je devais ordonner à quiconque de se prosterner devant qui que ce soit, alors j'ordonnerais à la femme de se prosterner devant son mari.»
Muslim 5661 :
Abu Huraira a rapporté que le Messager d'Allah a dit: « Ne saluez pas les Juifs et les Chrétiens avant qu'ils ne vous saluent et lorsque vous rencontrez l'un d'eux sur les routes, forcez-le à aller dans la partie la plus étroite de celle-ci. »
Other hadiths:
Muslim 6580 :
Abu Huraira a rapporté que le Messager d'Allah a dit: Les prétendants obtiendraient leurs revendications au Jour de la Résurrection à tel point que les moutons sans cornes obtiendraient leur réclamation des moutons à cornes.
Bukhari 3295 :
Le Prophète a dit: "Si quelqu'un de vous se réveille et accomplit l'ablution, il devrait se laver le nez en y mettant de l'eau et en le soufflant trois fois, parce que Satan est resté dans la partie supérieure de son nez toute la nuit."
Bukhari 608 :
D'après Abou Houreira (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Lorsque l'on appelle à la prière Chaytan s'éloigne et il fait un pet jusqu'à ce qu'il n'entende plus l'appel. Lorsque l'appel est terminé il revient jusqu'au moment de l'iqama alors il s'éloigne. Lorsque l'iqama est terminée, il revient et se met entre la personne et la concentration, il dit: -Rappelle toi ceci, rappelle toi cela-, des choses dont il ne se souvenait pas jusqu'à ce que la personne ne sache plus combien il a prié».
Bukhari 3320 :
D’après Abou Houreira (qu’Allah l’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Si une mouche tombe dans votre boisson, plongez-le dedans, puis retirez-la car l’une de ses ailes contient une maladie et l’autre un remède. »
Bukhari 278 :
Bukhari 278 : Le Prophète a dit: « Le (peuple de) Bani Israël avait l'habitude de prendre un bain nu (tous ensemble) en se regardant. Le prophète Moïse avait l'habitude de prendre un bain seul. Ils ont dit: 'Par Allah! Rien n'empêche Moïse de prendre un bain avec nous si ce n'est qu'il a une hernie scrotale. Ainsi, une fois que Moïse est sorti pour prendre un bain et a mis ses vêtements sur une pierre, cette pierre s'est enfuie avec ses vêtements. Moïse suivit cette pierre en disant: "Mes vêtements, ô pierre! Mes vêtements, ô pierre! Jusqu'à ce que les gens de Bani Israël le voient et disent: 'Par Allah, Moïse n'a aucun défaut dans son corps. Moïse prit ses vêtements et commença à battre la pierre. " Abu Huraira a ajouté: "Par Allah! Il y a encore six ou sept marques présentes sur la pierre à cause de ces coups excessifs." »
Bukhari 279 :
Le prophète a dit: «Quand le prophète Job (Aiyub) prenait un bain nu, des sauterelles dorées ont commencé à tomber sur lui. Job a commencé à les ramasser dans ses vêtements. Son Seigneur lui a adressé: 'O Job! Je ne t'ai pas donné assez pour que vous n'en ayez pas besoin. Job a répondu: «Oui! Par Votre Honneur (pouvoir)! Mais je ne peux pas me passer de Vos Bénédictions. "
Bukhari 3292 :
« Le Prophète a dit : – Un bon rêve vient de Dieu, et un cauchemar ou un rêve mauvais vient de Satan ; si quelqu’un d’entre vous a un mauvais rêve qui lui fait peur, il devra cracher sur le côté gauche et chercher refuge auprès d’Allah contre le mal et de cette façon il ne pourra rien lui arriver de mal. »
Bukhari 3860 :
« Le Prophète a dit : – Apporte-moi des pierres pour laver mes parties intimes et n’apporte pas d’os ou de crottin. Abû Hurayra continue de raconter : alors j’ai apporté des pierres […] et j’ai demandé : – Pourquoi pas l’os ou le crottin ? Il dit : – Parce que c’est la nourriture des djinns. Les délégués des djinns de la cité de Nisibe sont venus me voir – comme ils étaient gentils ces djinns – et m’ont demandé des restes de nourriture humaine. J’ai invoqué Dieu pour eux afin qu’ils ne passent pas à côté d’ossements ou de crottin sans y trouver de la nourriture dessus. »
Muslim 6924 :
« La dernière Heure ne surviendra pas avant que les Romains ne prennent position à al-A’mâq ou à Dâbiq (NDLR : qui se trouve au nord-est d’Alep et a récemment été reprise à l’État islamique par des brigades de l’Armée Syrienne Libre, soutenues par la Turquie). Une armée composée de l’élite des combattants du monde surgira à ce moment de Médine (pour les contre-attaquer). (…) Et le dernier tiers de l’armée sera vainqueur ; ils ne seront plus éprouvés ensuite et ils seront conquérants de Constantinople. Mais, tandis qu’ils seront occupés à se répartir les butins de guerre, ayant laissés suspendus leurs sabres aux branches des oliviers, Shaytan lancera cet appel : « le Dajjâl vous a remplacé dans vos foyers ! »
Bukhari 3056 :
« L’Envoyé de Dieu (encore une fois) se rendit avec Ubay bin Ka’b au jardin de palmiers où Ibn Sayyad se tenait (NDLR : Ibn Sayyad était soupçonné d’être le Dajjâl en personne). Le Prophète entra dans le jardin et se dissimula derrière les troncs de palmiers, car il voulait entendre quelque chose de la part d’Ibn Sayyad sans que ce dernier ne puisse le voir. Ibn Sayyad était couché sur son lit, couvert d’un drap de velours, et de là on pouvait entendre ses murmures. La mère d’Ibn Sayyad aperçut le Prophète tandis qu’il se cachait derrière un tronc de palmier. Elle avertit Ibn Sayyad « O Saf ! » (C’était son prénom). Ibn Sayyad se leva. Le Prophète dit » Si cette femme l’avait laissé tranquille, il aurait révélé la réalité de sa nature « . Puis le Prophète se leva parmi les gens, glorifiant Dieu tel qu’Il le mérite, et mentionna le Dajjâl en disant « . Je vous mets en garde contre lui (c’est-à-dire contre le Dajjâl), et il n’y eut aucun Prophète qui ne mit en garde son peuple contre lui, et Noé mit en garde son peuple contre lui, mais je vais vous informer d’une chose qu’aucun Prophète n’a dite à son peuple. Vous devez savoir qu’il est borgne et que Dieu n’est pas borgne. »
Bukhari 1145 :
« À partir du dernier tiers de la nuit, notre Seigneur descend au ciel le plus proche de la terre et dit : « J’exauce les invocations de celui qui M’invoque, Je donne à celui qui Me demande et pardonne à celui qui Me demande le pardon. »
This last hadith, like much else in the tradition, seems to imply a flat earth that does not turn.