Islam et Valeurs Démocratiques

L'Islam diffère de l'image que la plupart des gens se font typiquement d'une religion, en ceci qu'elle se double d'un système de gouvernement.^[1] L'Islam est un rejet absolu de concepts comme la liberté, la démocratie et les droits de l'homme,^[2][3] bien qu'il soit rare qu'un Musulman le reconnaisse et tente le plus souvent de créer une image différente.^[4] Il est commandé aux Musulmans de vivre dans le respect des lois locales s'ils habitent dans un état non-musulman, mais le mécanisme pour convertir un état non-Musulman en Etat Islamique est ambigu. L'hostilité contre l'Islam est considérée comme justifiant la conquête du pouvoir. Une telle hostilité semble inévitable si un groupe important de gens essaie de saper nos valeurs et notre système de gouvernement. Il est interdit aux Musulmans de voter dans des élections "séculières", aussi le renversement de gouvernements non-Musulmans se fera probablement par la force, soit de manière externe ou interne, selon qu'ils [les Musulmans] sont en force ou non.

La grande majorité des Musulmans du monde partagent l'interprétation de l'Islam décrite ci-dessous, même si cela apparaît "extrémiste" de notre point de vue.

Liberté et droits de l'homme

• Liberté : le terme Islam signifie soumission. C'est un rejet de la liberté individuelle et des droits humains.^[5][6] En fait, Hurryya, le terme islamique correspondant au terme "liberté", est défini comme "parfaite soumission à Allah".

• Esclavage : L'Islam permet l'esclavage des gens capturés lors des conquêtes militaires ^[7][8] et des enfants d'esclaves.^[9] De plus, les Dhimmis risquent l'esclavage s'ils ne suivent pas un ensemble long et complexe de régles discriminatoires.^[10] Les femmes esclaves deviennent concubines. L'esclavage est progressivement mis hors-la-loi vers la fin de l'empire Ottoman, en partie sous la pression de la Grande Bretagne, bien qu'elle continue au Moyen-Orient. Il n'est pas surprenant que l'esclavage des femmes a été la dernière forme à disparaître. Différents états africains continuent à pratiquer l'esclavage sous la Loi islamique (Charia). Beaucoup de Musulmans australiens soutiennent l'esclavage.

• Liberté de religion : Au départ, l'Islam s'est répandu par la conquête militaire suivie par le déni de la liberté de religion.^[11] L'Islam est extrêmement intolérant vis-à-vis du polythéisme, des religions non-abrahamiques, de l'athéisme, de l'agnosticisme, or ou de nouveaux 'cultes' comme l'Ahmadiyya qui sont basés sur l'Islam mais proclamment de nouveaux prophètes depuis Mahomet. L'Islam montre une tolérance limitée vis-à-vis des religions Chrétiénne et Juive. La construction ou la réparation des églises, synagogues, etc., sont interdits. L'Islam encourage un parent à battre un enfant qui ne prie pas.^[12] Le blasphème et l'apostasie provoquent la peine de mort. Les sections sut l'apostasie, la discrimination, la justice, la théocratie et le blasphème/liberté de parole soulignent les autres voies par lesquelles l'Islam refuse au peuple la liberté de religion. Tout 'héritage culturel' associé avec d'autres religions doit être détruit sur l'affirmation qu'il n'a aucune valeur et peut encourager l'idolatrie (p.e. la récente destruction des statues de Bouddha géantes en Afghanistan). Les Musulmans considèrent celà comme une faveur faite à l'humanité.^[13]

• Blasphéme/liberté de parole La sanction pour le blasphème est la mort par lapidation.^[14] L'Islam interdit la critique d'Allah, Mahomet ou de l'Islam. Il interdit aussi les autres zones de libre parole. Les "téléphones roses" par exemple sont illégaux. La punition pour avoir parlé en mode effèminé ou 'gay' par choix (p.e. excluant les 'défauts') physiques est la mort par lapidation.^[15]

• Apostasie : La sanction pour un Musulman qui rejette l'Islam est la mort.^{[16][17][18][19][20]} Pour les Sunnites, ceci inclut les Chiites.^[21] Les érudits Musulmans ont essayé de changer ceci occasionnellement dans l'histoire (plus récemment en 1839) de sorte que la peine de mort ne s'applique qu'aux traitres aostats.^[22] Cependant le courant principal de l'Islam considère toujours que la peine de mort pour apostasie est correcte. Aussi, considérant que l'Islam est à la fois un Etat (ou une forme de gouvernement) et une religion, beaucoup de Musulmans considèrent l'apostasie elle-même comme une trahison.^[23]

• Droits des femmes : Les Musulmans ne voient aucune contradiction à déclarer que les hommes ont autorité sur la femme et clamer aussi que l'homme et la femme sontégaux dans l'Islam.^[24][25][26] Les Musulmans aussi déclarent que le traitement des femmes dans les cultures islamiques est supérieur. Il est fréquemment proclamé [par les Musulmans] que le refus des droits basiques, tels que la liberté de s'habiller, est libérateur. Les Musulmans proclament souvent que les à-côtés associés à la liberté personnelle à l'occident sont actuellement l'objet de la liberté personnelle – c.a.d. que la femme est seulement autorisée à faire ce qui leur plait pour que l'homme puisse prendre le dessus sur elles. Les femmes doivent être soumises à le violence domestique (voir les entrées séparées). Les épouses sont là pour "se précipiter à satisfaire" les besoins sexuels de leur maris, sur demande.^[27] Les femmes ne sont pas autorisées à se mêler librement avec des hommes qui ne sont pas de leur famille et doivent avoir la permission de leur mari pour quitter la maison familiale. Les femmes ne doivent pas voyager sans la présence d'un proche parent ou serrer la main d'un homme qui n'est pas un proche parent.^[28] Les femmes sont discriminées dans la loi sur l'héritage, en ne recevant que la moitiè de l'héritage d'un homme (sur la base de ce qu'un autre homme pourrait prétendre après elles). Les Musulmans peuvent contracter mariage avec quatre femmes, incluant les non-Musulmans, mais une femme peut avoir un seul mari, qui doit être musulman. De plus, l'homme musulman peut prendre des esclaves femelles et avoir des rapports sexuels avec "autant que leur main droite puisse étreindre. L'Islam rejette le concept d'un homme et d'une femme tombant amoureux et se mariant. Plutôt, un vieil homme épousant une épouse enfant, dont on attend "l'évil à l'amour" dans une humble servitude pendant la durée du mariage.

Justice

• Justice : Les cours de justice islamiques considèrent le témoignage des non-Musulmans comme inférieur, sur la base de ce que les non-Musulmans sont fondamementalement malhonnètes.^[29][30] Un non-Musulman ne peut témoigner contre un Musulman.^[31] Les convenances islamiques exigent des Musulmans d'appliquer aux autres Musulmans le bénéfice du doute, de leur faire des excuses, et de dissimuler leurs fautes.^[32] "Quiconque dissimule les fautes d'un Musulman, Allah lui dissimulera ses fautes dans ce monde et dans l'Autre. Allah aidera (son) serviteur tant qu'il aidera son frère." Ceci, combiné avec d'autres formes de discrimination, causera des problèmes qui saperont la justice et érode les droits des non-Musulmans.

• Peine de mort : L'Islam applique la peinde mort pour beaucoup de crimes. Ceci inclut l'l'adultère, l'inceste, l'apostasie, l'hérésie, le paganisme, etc. Des crimes mineurs, comme la fornication et la masturbation, sont punis de la flagellation. L'homosexualité est punie comme l'adultère ou la fornication.

• Châtiments collectifs : l'Islam soutient les châtiments collectifs des non-Musulmans, particulièrement les Juifs.^[33] Ceci inclut le massacre et l'extermination totale des tribus juives en réponse à des crimes contre des individus musulmans.^[34]

• Violence domestique : Conformèment à l'Islam, l'homme a autorité sur les corps de ses femmes "(et esclaves)" et ne demande pas leur consentement pour avoir des rapports sexuels avec elles. Cependant, ceci n'est pas considéré comme viol et les Musulmans nieront que l'Islam permette le viol.^[35] Les Musulmans diront aussi que l'Islam permet de gifles leur femme pour les garder dans le droit chemin, mais nient qu'il s'agisse là de violence domestique.^[36][37][38] Mahomet autorisa les hommes à battre leurs femmes jusqu'à ce qu'elles soient consentantes^[39] mais prétendument il y a toujours un désagrément à ce à que les maris soient autorisés à battre leurs femmes, aux limites de ce qui est "permissible mais non raisonnable" à un mari de battre sa femme avec un "miswak"^[40] de façon à ne laisser aucune meutrissure, mais de faire une démonstration de colère et de frustration pour extraire la femme de sa "mauvaise humeur".^[41][42] L'humiliation est aussi déclarée comme le but de la violence domestique dans l'Islam.^[43] Evidemment, quand vous permettez la violence domestique, quelques que soient les limites morale qui soient placées, la violence aux femmes est souvent dépassée dans le feu du moment, même par un homme pieux, et complètement ignorée par les autres , spécialement parce que la femme soit couvrir son corps en public et ne doit pas quitter sa maison sans la permission de son mari. De manière absurde, le seulrecours légal pour une femme qui a été battue au delà des "limites légales" est d'obtenir un arrêt de la cour pour être autorisée, en représailles, à battre son mari.

• Discrimination : Les Chrétiens et les Juifs sont désignée sous le nom de "Dhimmis". Une tolérance limitée leur est étendue, conditionnée à un nombre d'obligations semblant assez arbitraires et discriminatoires dans les domaines économique, religieux et social.^[44] Ceci est destiné à forcer les Dhimmis à être en condition d'humiliation, ségrégation et discrimination, de sorte que même le plus bas des Musulmans leur soit supérieur et ne se sente pas tenté par leur réussite matérielle. Ces règles concernent les salutations, le comportement, l'habillement, les transports, l'emploi, le commerce, l'habitat, etc. Les Dhimmis risquent la mort ou l'esclavage pour la violation de ces règles. Tous les Musulmans doivent le service militaire. Le Jizyah doit être imposé à tous les non-Musulmans, à moins qu'ils servent aussi. Une autonomie limitée sous la forme de cours civiles chrétiennes et juives et une administration sont autorisées, mais ceci n'es pas étendu aux religions non-Abrahamiques. Tous les autres types de peuples non-Musulmans sont traités encore pire.

• Démocratie vs Théocratie : l'Islam requiert l'établissement d'une théocratie. Le démocratie est interdite. Les Musulmans peuvent élire des représentants pour établir la loi islamique, mais ces représentants n'ont aucun mandat pour établir autre chose que la dite loi. Les candidatures sont limitées aux plus instruits des érudits islamiques. L'Islam interdit même le "parti Islamique" d'Australie et interdit aux gens de voter pour lui. L'Islam exige aussi la résurrection du Califat, ce qui voudrait dire un retour aux mauvais anciens jours de l'expansionnisme militaire des empires essayant de prendre le monde entier.

• Trahison et allégeance nationale : Il n'y a actuellement pas de Califat, mais quand il aura été (re)créé, les Musulmans seront priés d'abandonner les pays où ils vivent et de partir pour le Califat, à qui est dûe leur véritable allégeance. Ceci est dans le cas probable du le contexte d'une guerre entre le Califat et d'autres nations. Si l'Australie était en guerre avec le Califat, les Musulmans Australiens pourraient être requi de prendre les armes contre l'Australie. Il n'y a aucune ligne de directive pour identifier quand ceci se produira.

• Guerre : L'Islam exige de ses partisans l'établissement d'un empire appelé Califat. La religion elle-même est basée sur la règle de Mahomet sur son empire. Tous les Musulmans sont instamment priés de retourner dans leur empire et d'y faire le service militaire, pour lui. L'histoire de l'Islam est dominée par la montée et l'effondrement graduel d'un Califat. Ce n'est que récemment qu'ils se sont trouvés sans une "patrie". Si un empire islamique gagne une guerre, il peut prendre toute la terre et les possessions du peuple vaincu. Ce peuple a le choix de s'enfuir de sa terre sans rien, de rester sans terres ni possessions ou de devenir esclaves des envahisseurs.^[45] Des situations comme Israël et l'Irlande du nord, sauf exceptions plus extrêmes, sont la norme plutôt que l'exception. Souvent, les Musulmans proclamment que l'empire s'étend seulement en légitime défense mais ceci, clairement, est faux. Par exemple, à la hauteur de l'empire, les Musulmans ont traversé la Méditerranée pour se joindre à une guerre moderne en Espagne. Après leur victoire initiale, ils se sont retournés contre leurs alliés d'un moment et ont commencé à les tuer aussi. Alors, ils ont commencé à conquérir la péninsule entière et à envoyer des raids de nos jours vers la France. En ce qui concerne les prisonniers de guerre, la doctrine Islamique permet à un adepte de chosir entre celle des quatre options suivantes, la plus profitable ou la plus bénéficiaire : les tue, la réduction à l'esclavage et la possibilité de les vendre, le rançonage ou le pardon.^[46] Beaucoup de Musulmans croient que l'occident est dans l'état de guerre avec le monde musulman depuis 1920.^[47] Les Musulmans s'opposent toute "reddition" par les Palestiniens après la défaite d'une guerre qui a duré des décades, considérant qu'une victoire militaire des Musulmans est imminente. Ils soutiennent les traités de paix dans cette optique, mais ne considèrent pas la moindre forme de reddition. Ils y voient plutôt un accord pour arrêter temporairement la guerre et la faire repartir plus tard.^[48].

• Racisme : Le racisme est techniquement contre l'Islam, même s'il est très répandu, spécialement parmi les promoteurs politiquement actifs de l'Islam. Hitler a visité le Moyen-orient avant la 2^e Guerre Mondiale pour battre le rappel à sa cause et gagner des alliés. Il amena avec lui un fervent antisémitisme qui prouva qu'il était très populaire chez les populations locales. Tandis que l'occident était révulsé par les conséquences de l'antisémitisme du Nazisme, le Moyen-orient et les Musulmans y étant attachés. Le Moyen-orient a subi une défaite similaire à celle de l'Allemagne, ayant fait partie d'un empire qui fut glorieux un jour et qui a doucement sombré et fut éventuellement démembré par les puissances étrangères. Comme toujours, les Juifs furent un bouc-émissaire commode pour leurs misères. Le fait qu'un petit coin de "leur" territoire soit tenu par les Juifs après la 2^e Guerre Mondiale a attisé le feu de l'anti-sémitisme parmi les Musulmans du monde entier, sans commune mesure avec la quantité de terre concernée. Les théories modernes de la conspiration sur les Juifs sont répandues dans les communautés musulmanes et n'ont pas beaucoup progressé depuis le style cru promu par Hitler.^[49] Le racisme anti-blanc est aussi commun et fournit un chemin facile pour blâmer les non-Musulmans pour les effondrements de l'Empire islamique et l'Etat actuel des affaires au Moyen-orient.^[50]

Sexualité

• Amour : L'Islam n'accepte pas la vision conventionnelle^[51] de l'amour, laquelle est considérée comme rien moins que de la fatuité, qui met hors-service la raison et la logique. Au lieu de de celà, les femmes doivent grandir pour aimer leurs maris lesquels ont été choisis pour elles. Cet amour est basé autour d'une croyance de l'Islam, la seule vraie religion. Pour cette raison il ne fait aucune différence si une fille est mariée à l'âge de 6, 12 or 18 ans ou de combien est plus âgé l'époux qui lui a été choisi.^[52] L'Islam facilite la violence domestique et la femme est supposée être la servante de son mari.^[53][54] Si elle trompe son mari choisi, elle est lapidée à mort (voir adultère ci-dessous).
• Viol : Le viol est permis dans l'Islam dans les mêmes conditions où le sexe est permis.^[55] Là où le sexe n'est pas permis, le viol n'est pas permis, le viol est sanctionné de la même manière que le sexe consenti.^[56][57] Les Musulmans rejettent le concept d''adultes consentants' et ne considère pas que le sexe doive être consensuel à moins que Dieu (c.a.d. la loi islamique) ne le permette.^[58] L'Islam exige qu'une femme satisfasse les désirs sexuels de son mari et ne reconnait pas la nécessité du choix de la femme.^[59],^[60],^[61] L'homme musulman peut avoir des rapports avec des esclaves ou "ce que leur main droite possède" cependant les Musulmans distinguent entre les esclaves avec laquelle vous avez des rapports et les "esclaves sexuels", probablement sur la base de ce que seul le propriétaire de l'esclave peut la violer.^{[62][63][64][65][66][67]} Les femmes capturées dans la conquête peuvent aussi être violées. Les Musulmans considèrent le viol de leurs esclaves comme un "droit" et même décrivent cela comme une libération pour une femme captive.^[68][69] Le viol d'une femme non-Musulmane dans d'autres circonstances est techniquement illégal, mais les cours ne retiennent pas le témoignage des non-Musulmans comme incontestable. En plus de la sanction pour un acte sexuél consenti, un violeur "illégal" doit aussi payer une "dowry" à la victime. Si la victime est une esclave, le violeur doit rembourser la perte de valeur de l'esclave (probablement au propriétaire de l'esclave). Ce paiement doit être fait sans tenir compte du fait que la victime était vierge (probablement parce que ceci a un impact sur la valeur de l'esclave).^[70] Les Musulmans affirment souvent que le faible taux de viols et de pédophilie dénoncés dans les sociétés islamiques est une preuve du peu de cas survenus plutôt que la légalisation du viol, la difficulté à établir les preuves et les obstacles aux dénonciations (beaucoup de femmes qui dénoncent les viols se voient accusées de crimes sexuels).
• Pédophilie : L'Islam institutionalise la pédophilie dans le mariage.^[71] Un pédophile peut avoir jusqu'à quatre femme prépubéres à tout moment et autant de filles esclaves sur lesuelles il peut mettre la main. Il n'a pas à contracter mariage à vie avec les filles car il peut divorcer d'elles et prendre de nouvelles femmes prépubéres quand les autres deviennent trop mûres à son goût. Prétendument, la seule mise en garde que cette société lui fait en confiance est de ne pas avoir de rapports tant qu'elles n'ont pas atteint la puberté. Cependant, il peut vivre avec les filles et déménager où bon lui semble. Ceci, combiné avec l'obligation faite aux femmes de se couvrir des pieds à la tête, la dislocation imposée à leurs vies et le strict contrôle que l'homme exerce sur la femme qu'ils possède (c.a.d. qu'une femme doit demander la permission de son mari pour quitter la maison) signifie que la pédophilie institutionnalisée est impossible à éradiquer dans la loi Islamique. La pédophilie hors-mariage est punissable comme les rapports consentis mais, cependant, la sanction est plus sévère pour ceci et les lois bien disposées à l'égard de la pédophilie dans le mariage, il est probable que bien des pédophiles se satisferont avec les limites du mariage. Les poursuites légales de la pédophilie extra-conjugale seront sanctionnées par les mêmes lois qui empêchent la dénonciation de la pédophilie dans le mariage.
• Necrophilie : La nécrophilie est permise dans l'Islam dans la même situation que le sexe est permis, avec une restriction qui est que le cadavre doit être frais. Le Printemps Arabe a donné naissance à de sérieux efforts pour légaliser la nécrophilie (avec un délai de 6 heures de limite de temps) et réduisant l'âge légal du consentement au mariage en Egypte. La législation est actuellement devant le Parlement.^[72]

• Adultère : La sanction pour l'adultère (sexualité hors mariage) est la mort par lapidation.

• Fornication : La sanction pour la fornication (sexualité pré-conjugale) est de 100 coups de fouet. La sanction peut être aggravée si les fornicateurs n'ont pas la possibilité de se marier après les rapports sexuels (p.e. parce qu'ils n'en ont pas les moyens).

• Homosexualité : La sanction est la même que pour l'adultère ou la fornication, selon que vous êtes mariès ou célibataires. Ceci pourrait survenir si l'Australie devenait une théocratie. Peu de gays pourraient de nos jours être exécutés parce que l'état d'homosexualité "apparente" disparaît tout simplement dans l'Islam. Celà signifie qu'il n'est pas tiré vers la clandestinité par le peine de mort ; seulement les hommes cessent d'avoir des rapports sexuels parce qu'ils sont Musulmans.

• Masturbation : La Masturbation est interdite dans l'Islam.^[73] La punition est une large catégorie appelée "ta'zeer" (Tazir). Dans les derniers temps des Ottomans,les punitions ta'zeer étaient rangés dans les blâmes et des flagellations douces jusqu'à des peines de prison.

• Polygamie : Un homme peut avoir jusqu'à quatre femmes en plus des concubines (voir ci-dessous). Une femme ne peut avoir qu'un mari. Elle n'en a besoin que d'un, car il fournit tout ce dont elle a besoins. Un homme musulman peut prendre une femme juive ou chrétienne mais pas une athée ou une appartenant à une religion "non-Abrahamique". une femme musulmane ne peut épouser qu'un homme musulman. Mahomet s'est permis 11 femmes.^[74]

• Esclaves sexuelles : En plus de leurs femmes, les hommes musulmans peuvent avoir des rapports sexuels avec des concubines esclaves femmes (concubines).^[75][76]

Autres

• Alcool : Tous les toxiques sont interdits.

• Circoncision : La circoncision des hommes et des femmes bien qu'il y ait désaccord entre ce qui est éxigé, recommandé ou seulement permis.^[77][78] Il est déclaré que l'étendue de la mutilation génitale des femmes est contrôlée et que ceux qui coupent trop sont en principe sanctionnés par la mort par lapidation.

• Habillement : Une femme doit tout recouvrir à l'exception de son visage et des mains. Ses vêtements de doivent pas être trop serrés au cas où sa silhouette puisse être devinés. Quelles sanctions Penalty ???? Aucune réponse encore.

• Musique : Les instruments de musique sont généralement interdits car ils sont "purement mauvais". Quelques musulmans considèrent que chanter est illégal tandis que d'autres acceptent le chant et possiblement des instruments de musique pourvu que le message de la chanson soit acceptable et également selon l'occasion (p.e. un mariage).

• Hygiène personnelle : Les Musulmans sont priès d'enlever tous leurs poils apparents mais leur pilosité faciale.^[79]

• Vol : La sanction est la main coupée à moins que vous ayez des circonstances atténuantes qui excusent votre vol (p.e. pour fournir de la nourriture à votre famille). Les kleptomanes auront leur main tranchée.

Réalisation d'un changement

Je ne suis pas sûr combien l'Islam "dur" exige de ses adeptes de "faire pression" pour ces changements. Il apparaît qu'il y a quelque confusion sur ce sujet. La règle générale semble être que les Musulmans tolèrent pacifiquement les lois modernes jusqu'à ce qu'ils soient suffisamment en position de force pour imposer l'adoption de La loi islamique.

Les Musulmans qui font publiquement la promotion de l'Islam semblent être devenus plus futés . Les points soulevés ci-dessus pendant les discussions avec quelques Musulmans sur le forum le montrent. La liste a été compilée en réponse à une augmentation de la complexité dans le débat et une tendance des promoteurs de l'Islam à répéter le même débat et prétendre que les points ci-dessus n'ont jamais été soulevés et qu'il n'y avait aucun conflit potentiel entre l'Islam les valeurs occidentales. Cependant, après la compilation de la liste, avec les liens aux citations des Musulmans sur le forum confirmant chaque point, il y a eu un changement abrupt de stratégie. En discussion avec d'autres Musulmans, les gens concernés ont promu une focalisation plus forte sur la stratégie et la propagande dans les discussions publiques avec les non-Musulmans, mais n'ont pas clarifié quelle stratégie c'était.^[80]

La nouvelle stratégie semble concerner l'esquive totale des points contentieux. Les Musulmans répondront à la plus extrême fulmination anti-islamique rants par quelque chose qui donnera une bonne idée de l'Islam ou au moins neutre en comparaison. Ils feront également un anti-américanisme "irréfléchi" ou des fulminations ainti-occidentales en justification.^[81] En contraste, des demandes pour plus de détails sur les points soulevés ci-dessus, ou tout point non-évoqué dans la liste ou l'un ou l'autre sont ignorés^{[82][83][84][85][86][87][88][89][90]} ou rencontrent une sorte de déviation.^[91][92] Ces déviations concernent typiquement les attaques personnelles sur la compréhension de la personne faisant la demande,^{[93][94][95][96][97][98][99][100][101][102][103][104][105][106]} critique sur la motivation du demandeur (p.e. vous demandez seulment un ajout à ce wiki)^[107] ou aussi vous pouvez fourvoyer les gens sur la réponse),^{[108][109][110][111]} un changement de sujet (habituellement sur la géopolitique actuelle) ou insistant sur le fait que la question a déjà eu une réponse.^[112] La géopolitique actuelle, habituellement le long des lignes "un terroriste est un combattant de la liberté",^{[113][114][115][116]} et les griefs historiques semblent avoir la faveur des changeurs de thématique. Ces arguments peuvent facilement être opposés sans référence dircte à l'Islam ou à un quelconqe des conflits soulignés ci-dessus. En fait il leur est utile de diriger les arguments loin de l'Islam. Les questions sur l'Islam qui sont basées sur les évênements en cours sont abordés avec la déviation courante selon laquelle l'"Islam n'existe pas" ^{[117][118][119][120]} et une négation de l'implication de l'Islam (p.e. la lapidation à mort des gens moyen orient est sans relation avec la loi islamique qui exige de lapider à mort les gens parceque la loi Charia n'est pas appliquée correctement). Les nouvelles concernant les règles de l'Islam sur le sexe obtiennent habituellement la réponse fallacieuse du "prêtre qui a iolé des petits garçons".^[121][122] Le résultat net de ces stratégies est la promotion de défenses de l'Islam vers un auditoire futé qui rejette l'argument loin de l'Islam lui-même vers des sujets plus politiques.^{[123][124][125]} Cette stratégie serait plus attirante pour les gens qui s'opposent à la politique étrangère de leurs gouvernements et sont peu soucieux de la nature politique de l'Islam et de comment il voudrait remplacer cette politique étrangère avec.

Il est important de ne pas voir l'Islam ou de le comparer à d'autres religions dans un vide historique. Le conservatisme rampant du moyen-orient est sans aucun doute attribuable à la longévité de l'Empire ottoman. La fermeture des barrières de l'ijtihad' (cessation de l'inquisition religieuse) pendant un certain temps ou après le 10^e siècle a sans doute joué un rôle. Malgrè cette fermeture il y a eu plus de consensus que par les décrets coraniques, de sorte qu'à la fin il n'y avait plus d'obstacle à une réouverture. L'Islam exige de ses fidèles de contribuer de manière productive à une nouvelle société où ils s'installeront. Pendant que ceci se réalise à court terme, sur le long terme il ne fait rien pour relancer un retour aux conqêtes militaires.

A l'opposé, l'abolition de l'esclavage crée un précédent valable pour les théologiens modernes pour défier ce qui semble être les principes de base de l'Islam. Un autre facteur en faveur du changement est que l'Islam n'a pas de hiérarchie cléricale généralement acceptée ou une organisation bureaucratique. Cependant, les mouvements libéraux peuvent surgir facilement au sein de l'Islam, comme cela arrive de nos jours. Le même problème qui permet aux extrémistes et aux terroristes d'aller sans concurrence autorise aussi les réformes progressistes. Inévitablement, l'Islam va entreprendre des réformes significatives à un certain moment dans le futur ou bien fera basculer le reste du monde dans la barbarie. Il est crucial que l'occident puisse autoriser ceci à se produire et n'"empoisonne pas le puits" en faisant que le monde musulman s'associe aux valeurs occidentales dans l'oppression et la décadence.

En 2001, environ deux mois après les attentats du 9/11, la Cour Européenne des Droits de l'Homme détermina que "l'institution de la loi dite Charia et un régime théocratique, étaient incompatibles avec les exigences d'une société démocratique."^[126]

Le 16 janvier 1998 la Cour Constitutionnelle prononça un arrêt dissolvant le parti RP sur la base qu'il était devenu un "centre d'activités contre le principe de sécularisme". Elle déclara aussi que les avoir du RP seraient transférés de par la loi au Trésor. La Cour Constitutionnelle déclara plus tard que les déclarations publiques des dirigeants du RP, et en particulier Necmettin Erbakan, Sevket Kazan et Ahmet Tekdal, avaient un rapport direct sur la constitutionnalité des activités du RP. En conséquence, elle impose une sanction ultérieure dans la forme d'une interdiction de siéger au Parlement ou de tenir certaines autres formes d'activités politiques pour une période de cinq années.

La Cour considère que, quand ils font campagne pour des changements dans la législation ou la loi ou les structures constitutionnelles de l'Etat, les partis politiques continuent à jouir de la protection des articles de la Convention et de l'article 11 en particulier pourvu qu'ils remplissent deux conditions : (1) les moyens utilisés a ces fins doivent être légaux et démocratiques en tous points et (2) les changements proposés doivent êtres compatibles avec les principes démocratiques. Il en découle nécessairement que les partis politiques dont les leaders incitent les autres à utiliser la violence et/ou soutiennent des buts politiques qui sont inconsistants avec une ou plusieurs règles de démocratie ou veulent la destruction de la démocratie et la suppression des droits et des libertés ne puissent compter sur la Convention pour se protéger des sanctions imposées comme résultat de leur action.

La Cour maintient que les sanctions imposées aux demandeurs peuvent raisonnablement être considérées comme rejoignant un besoin social pressant pour la protection de la société démocratique, puisque, sous prétexte de donner différentes significations au principe de sécularisme, les dirigeants du Refah Partisi ont déclaré que leur intention était d'établir une pluralité de systèmes légaux basés sur différentes croyances religieuses, d'instituer la loi islamique (la Charia), un système de loi qui est contraste marqué avec les vleurs contenues dans la Convention. Ils ont aussi laissé un doute sur leur position concernant le recours à la force pour parvenir au pouvoir et, plus particulièrment, pour conserver le pouvoir.

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En anglais

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Traductions

• Une version de cette page est aussi disponible dans les langues suivantes : Allemand, Anglaise, Bulgare.

• Peut-il y avoir une démocratie islamique ? (Can There Be an Islamic Democracy?) - David Bukay, Middle East Quarterly, printemps 2007, pp. 71-79